mai 12, 2009

Gîngurire

Un bon ami vient de me repprocher le silence - silence que je voudrais bien expliquer. Ici et maintenant, au bout apothéotique de plus de dix bières, j'avoue au plein coeur et couilles vides que j'aime bien une femme, et que cette femme me vole agréablement le temps, tout en me vidant les énergies. J'ecris pour elle, je plante sur Internet de la musique pour elle, je lui dis tout ce que j'ai à dire, je lui fais, de manière tendre et efficace, toutes les confessions qui remplissaient ces endroits auparavant. En telle situation, cet espace virtuel m'a paru désormais obsolète et inutile.
Le vertige amoureux que je vis depuis un mois déjà m'a rajeuni d'une manière presqu'incroyable. Je me porte comme un ado, je revis plénairement toutes les minidrames et les émotions de la jeunesse, je vibre et tremousse a n'importe quel mouvement de ma bien-aimée. Je me cède volontiers en proie a cette jeune demoiselle, assoiffé de revivre l'émotion amoureuse et désésperé d'en finir une fois pour toujours avec le doeuil obsessionel de mon amour. Si vous étiez à ma place, auriez vous toujours envie de bavarder, alors que toutes les énergies se concentrent ailleurs?

Voilà une chanson qui parle pour moi - pour les connaisseurs, cela devrait tout expliquer:


Diamanda Galas - Interlude
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5 comentarii:

Anonim spunea...

nu stiu,nene,pare o romanta parfumata pe dublu sens...

...belle chanson

Anonim spunea...

eh... pai asta stiam, sau macar imi imaginam :P. si nu era repros, era invitatie. care bine-ai reaparut, beber.

Anonim spunea...

hei, ia vezi ce iese cand pui pe google traducere ...

dostoievski spunea...

unui barbat (liber) timiditatea nu-i sta bine.uneori, increderea si curajul te poate costa fericirea,tovarase.

nautilus spunea...

... eu izvor,
.... ea caprioara