noiembrie 22, 2009

Floricel şi Laurenţiu

Cernea Remus-Floricel şi Antonescu Laurenţiu-Crin s-au dus. Mai jos, dedicaţii muzicale pentru Traian Băsescu şi Mircea Geoană.

pentru Traian Băsescu:

Diary of Dreams - Menschfeind
Asculta mai multe audio Muzica

Pentru Mircea Geoană:

Swans - One small sacrifice
Asculta mai multe audio Muzica

Ruşine, ruşine, ruşine românilor. Mă întreb de unde mai are stirpea asta din care mă trag resurse să mă dezamăgească. Oare cît de jos se poate ajunge?

noiembrie 15, 2009

În România, votul trece pe poarta Bisericii

La fel ca ieri, un editorial France Presse, de data asta despre spaţiul politic românesc şi propensiunile naţional-ortodoxe. Cu menţiunea că - pentru cei cărora le pasă de gura satului global - France Presse este una din cele trei mari agenţii de presă din lume, şi că acest text este citit şi, poate, prelucrat într-un catralion de instituţii media.

En Roumanie, le vote passe par la porte de l'église (PAPIER D'ANGLE)
AFP: 2009-11-15 10:39:00
Par Anca TEODORESCU
=(PHOTO ARCHIVES)=
BUCAREST, 15 nov 2009 (AFP) - Durant les dizaines d'années du
régime communiste en Roumanie, il ne fut pas de bon ton d'afficher
sa foi en Dieu. Aujourd'hui, de nombreux candidats à l'élection
présidentielle font preuve d'une religiosité ostentatoire dans ce
pays majoritairement orthodoxe.

Le président sortant libéral-démocrate Traian Basescu ou son
principal concurrent, le social-démocrate Mircea Geoana se signent
bien visiblement avant d'entrer sur la scène de leurs meetings.

Ils se sont également rendus à plusieurs reprises dans
différentes églises, écoutant la messe d'une mine grave et recevant
la bénédiction des prélats. En présence des caméras le plus
souvent.

`Les hommes politiques utilisent cela pour gagner du capital
d'image dans ce pays où l'Eglise jouit de beaucoup de respect`,
explique à l'AFP le sociologue Mircea Kivu.

Alors que près de 87% des Roumains se sont déclarés orthodoxes
au dernier recensement, il serait impensable d'affirmer son athéisme
si l'on veut gagner des voix.

Ainsi, lors d'un débat télévisé avant l'élection présidentielle
de 1996, le candidat chrétien-démocrate Emil Constantinescu avait
demandé au président sortant Ion Iliescu s'il croyait en Dieu.

Ancien haut responsable du PC, M. Iliescu avait essayé de
contourner la question. Selon les analystes, l'embarras évident de
ce dernier avait convaincu nombre d'indécis de voter pour M.
Constantinescu, qui avait finalement remporté le scrutin.

Depuis, inauguration d'église ou intronisation de prélats, toute
occasion est bonne pour des hommes politiques en quête de
popularité.

Quitte à s'attirer la colère des fidèles, mécontents de voir les
dirigeants politiques passer devant eux sans faire la queue pour
entrer dans l'église.

Critiquant à ce propos le chef de l'opposition Mircea Geoana,
l'éditorialiste du quotidien Gandul Cristian Tudor Popescu
s'interroge sur ses motifs: `Serait-ce pour faire pardonner ses
péchés ou pour faire d'énormes signes de croix, sous l'oeil des
caméras, en sachant que cela plaît à l'électorat?`
Pour sa part, l'Eglise orthodoxe affirme sa `neutralité
politique` et assure ne pouvoir empêcher aucun fidèle de participer
à la messe.

Et si une décision du saint-synode autorise les prêtres à
briguer des postes de conseillers départementaux, le porte-parole du
patriarcat, le père Constantin Stoica, assure à l'AFP qu'il `ne
s'agit pas de faire la politique des partis mais la politique des
communautés`.

Une enquête réalisée en caméra cachée par la chaîne Realitatea
TV montre pourtant des prêtres prêts à accepter des `dons` en
échange d'un court prêche en faveur de tel ou tel candidat à la
présidentielle.

Des analystes dénoncent en outre la `confusion` entre l'Etat et
l'Eglise orthodoxe, entretenue `particulièrement par les hommes
politiques`, en dépit du statut laïque du pays.

`Au moment où le président de la Roumanie, donc de tous les
Roumains, embrasse la main du patriarche orthodoxe, il met l'Etat
dans une situation de subordination face à l'Eglise`, dit le
politologue Cristian Parvulescu, en évoquant la prestation de
serment par M. Basescu.

En 2006, une plainte déposée par un enseignant appelant les
autorités à retirer les icônes des écoles avait suscité un débat
sans précédent en Roumanie. Après plusieurs décisions de justice
contradictoires, la Cour suprême a tranché en mai dernier en faveur
du maintien des symboles religieux.


evident, cu dedicaţia de rigoare:)

Leftfield - Open up
Vezi mai multe video din Muzica

noiembrie 14, 2009

Ca la ei, la noi

Reproduc mai jos, cu copy/paste, un excelent editorial France Presse despre pravoslavnica biserică ortodoxă greacă, despre privilegiile de acolo şi despre puterea acestei instituţii într-un stat european, în mileniul III. Se pare că la alţii e mai rău - un motiv în plus să nu renunţ la militantismul meu.

L'Eglise orthodoxe grecque se mobilise face à un tour de vis fiscal (PAPIER D'ANGLE)
AFP: 2009-11-14 10:27:15
Par Catherine BOITARD
ATHENES, 14 nov 2009 (AFP) - La prospère Eglise orthodoxe de
Grèce a commencé à se mobiliser contre le tour de vis fiscal que le
nouveau gouvernement socialiste entend lui imposer au moment où les
finances publiques sont au plus bas.

Le coup de semonce a été lancé par le saint-synode, organe
collégial de direction de l'Eglise, après la présentation d'un
projet de loi créant une imposition exceptionnelle, au titre de la
`responsabilité sociale,` des biens fonciers de plus de 600.000
euros.
Dans un communiqué, le saint-synode a mis en garde la majorité
socialiste, qui a succédé à la droite le 4 octobre, contre toute
`intervention légale en ordre dispersé` à son encontre, et chargé
trois métropolites de ramener le ministère des Finances dans le
droit chemin.

La hiérarchie a appelé les autorités `à peser les retombées`
d'une brouille éventuelle sur l'action philanthropique de l'Eglise.
Le saint-synode a fourni à l'appui de l'argument une liste de
centaines de crèches, hospices, ou soupes populaires palliant selon
lui les déficiences notoires de la protection sociale publique.

A la tête d'un important parc immobilier locatif, l'Eglise
`n'est pas opposée à la contribution spéciale, mais veut empêcher
tout fait accompli ouvrant la voie à une plus lourde imposition à
l'avenir`, a affirmé à l'AFP une source ecclésiastique.
Même s'il s'est gardé de polémiquer, le gouvernement a de fait
saisi l'occasion pour rappeler son engagement électoral à lever, à
terme, le bouclier fiscal dont jouit l'Eglise, non séparée de
l'Etat, du fait de son statut de personne légale de droit public.

`Là où elle produit du profit, le fortune de l'Eglise sera
imposée au même titre que les biens des organismes d'intérêt
publics`, a déclaré le porte-parole, Georges Pétalotis. La mesure
doit figurer dans une réforme annoncée pour le printemps, censée
mettre fin à l'évasion fiscale qui assèches les caisses de l'Etat.

Selon le quotidien libéral Kathimérini, l'Eglise, dont le
personnel est payé sur fonds publics, a enregistré en 2008 des
revenus de 20 millions d'euros, avec un bénéfice de 7 millions.

Un précédent gouvernement socialiste, mené par Andréas
Papandréou, père de l'actuel Premier ministre, avait tenté dans les
années 80 de nationaliser une partie de cette fortune, mais avait
reculé face à l'ampleur de la contre-offensive.

Le crédit dont jouit l'Eglise auprès d'une population orthodoxe
à plus de 90% a été écorné depuis par divers scandales, dont le plus
retentissant, portant sur une appropriation abusive de biens publics
par des moines affairistes du Mont-Athos, a éclaté l'année dernière
et a joué un rôle non négligeable dans la chute de l'ancienne
majorité conservatrice.

Longtemps marginaux, les partisans d'une laïcisation de l'Etat
commencent à se faire entendre, opposés notamment au serment
religieux prêté par les ministres et députés ou à la présence
d'icônes dans les écoles et tribunaux. Le chef de l'Eglise, Mgr
Iéronimos, a jugé un tel débat `déplorable`, en commentant récemment
la décision de la cour européenne des droits de l'homme de bannir
les crucifix des écoles italiennes.

La final, ca de obicei, o dedicaţie muzicală:

Rotersand - War on error (declaration)
Asculta mai multe audio Muzica

noiembrie 13, 2009

Comandante, ai futut ţaaaara!

excelent viral de la happyfish şi dez, merită consemnat pentru calitatea de postmodernism de manual a înregistrării:))

noiembrie 03, 2009

Comentarii şi blasfemie

Blasfemiator şi ostentativ, am postat pe trilulilu o piesă dragă mie a uneia din trupele mele preferate - adică trupa Combichrist şi o demenţă licenţioasă, plină de ritm şi agresivitate, numită "This shit will fuck you up".

Corul psaltic "Agyos Parthene" - Prohodul Domnului, glas V
Vezi mai multe video din Muzica
Aşa cum puteţi vedea, am pus piesa sub titlul Corul psaltic "Agyos Parthene" - Prohodul Domnului, glas V, iar comentariul explicativ personal al piesei este
"Cu suflet smerit vin către Tine, Doamne Iisuse Hristoase, să te rog întru iertarea de păcate cu această cîntare duhovnicească, şi cu smerenie mă închin ţie în sfînta noastră biserică ortodoxă şi naţională. Doamne ajută!"

Ei bine, în afară de un cor psaltic, altfel foarte plăcut,
Corul Stavropoleos - Stihurile, glas V
Asculta mai multe audio Muzica pe cel mai frecventat site din România, fişierul cu Combichrist are cele mai multe accesări. Evident că au existat şi comentarii (aici doream, de fapt să ajung), din care parte îmi par suficient de relevante pentru problemele cu care-mi usuc gura în fiecare zi:

1)
cosminu1990
acum 6 luni

doamne cat ne mai rabzi pe pamant priviti cata bataie de joc astea nus oameni is deavolul in chip omenesc.iti bati joc de Dumnezeu caine c esti nu tie frica ca te mananca iadul?voi deja ardeti ca nu va simtiti bine cred cu asemenea muzica

2)
elinas
acum 5 luni

HUOOOOOOOOOO SI SICTIRRRRR!!!!! TERMINATILOR.

3)
deliamanuela
acum 4 luni

da cu astea ce ii??? numa atatea cuvine are vocabularul lor?? vai s-amar de ei!

4)
vlad0417
acum 23 ore

ce incult,analfabet si ateu esti maaaaaaaa
dute la oi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Fără alte comentarii :-)